assis
sur un tertre
aux parfums de vétiver
je contemple l'étendue verte
à perte d'horizon
qui se repose pour préparer la saison
aux parfums de vétiver
je contemple l'étendue verte
à perte d'horizon
qui se repose pour préparer la saison
*
quel
petit coin de paradis
quel unique isoloir
quel grand voyage initiatique
aux environs de cette manifestation
pendant que tombe la pluie
pour me tendre finement un message
sous le ciel pleureur
*
quel unique isoloir
quel grand voyage initiatique
aux environs de cette manifestation
pendant que tombe la pluie
pour me tendre finement un message
sous le ciel pleureur
*
assis
sans tabou ni limite
en contemplant le lointain rempli de baliveaux
qui luttent contre les vents
*
sans tabou ni limite
en contemplant le lointain rempli de baliveaux
qui luttent contre les vents
*
je me
lance en douce à la découverte
de cette contrée de l’absence
avec deux mots au cœur de mon grimoire
pour former un vers devenant mon plus beau printemps
de cette contrée de l’absence
avec deux mots au cœur de mon grimoire
pour former un vers devenant mon plus beau printemps
*
que
de paraphes après paraphes
que de signes de prospérité
imprimés sur la feuillaison
que de signes de prospérité
imprimés sur la feuillaison
*
*
*
Claude Sterlin ROZEMA
18 Juin 2018
18 Juin 2018
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