![]() |
The House is pushing forward with a dangerous FY2026 spending bill that would gut nearly $1 billion from the Department of Housing and Urban Development (HUD) at the exact moment when families are being priced out of their homes, evicted in record numbers, and pushed into homelessness. When millions are struggling to keep a roof over their heads, cutting housing assistance will deepen homelessness, accelerate displacement, and dump the cost of failure onto cities and working families. This bill would eliminate the HOME Investment Partnerships Program, one of our largest tools for building affordable housing. That means fewer homes built, fewer families helped, and more people left out in the cold. It slashes funding for eviction prevention, rental aid, and public housing maintenance. And worst of all, it opens the door for housing authorities to impose rent hikes, work requirements, and even time limits on how long people can receive help. By gutting Fair Housing enforcement, Congress would be letting discrimination against renters and homeowners flourish. Black, Latino, Indigenous, and disabled communities will be hit hardest. This is a direct attack on the exact laws that are supposed to protect against housing bias, and it is happening while these same communities face the highest rates of eviction, harassment, and denial of access to housing.
If Congress passes this budget, housing justice in America takes a giant step backward. Cutting the HOME program will choke off one of the only federal tools communities use to construct and repair affordable housing, especially in areas where the private market refuses to build. With a growing shortage of affordable units, that decision alone will mean thousands of families will be forced into uncertainty or homelessness. Slashing eviction prevention programs means fewer people will be able to access emergency rental assistance or legal aid when facing eviction. These cuts will lead to more children losing their homes, more seniors being forced into shelters, and more people sleeping on the streets. To stop this crisis before it gets worse, we need full funding for rental vouchers, renewal of homeless assistance grants, robust investment in public housing, and strong protections for eviction prevention and Tribal housing programs. Anything less is an assault on people’s right to a safe, stable home. Together, we can stop these cruel cuts and fight for a housing system that works for everyone. Caroline. Caroline Nagy (she/her)
|
![]() |
La Chambre fait avancer un dangereux projet de loi de dépenses pour l'exercice 2026 qui priverait de près d'un milliard de dollars le ministère du Logement et du Développement urbain (HUD) au moment même où des familles sont chassées de leurs maisons, expulsées en nombre record et poussées vers le sans-abrisme. Alors que des millions de personnes luttent pour garder un toit au-dessus de leur tête, la réduction de l’aide au logement ne fera qu’aggraver le problème du sans-abrisme, accélérer les déplacements et faire supporter le coût de l’échec aux villes et aux familles qui travaillent. Ce projet de loi supprimerait le programme de partenariats d'investissement HOME, l'un de nos principaux outils de construction de logements abordables. Cela signifie moins de logements construits, moins de familles aidées et davantage de personnes laissées pour compte. Il réduit considérablement les financements destinés à la prévention des expulsions, aux aides au logement et à l'entretien des logements sociaux. Et pire encore, il ouvre la voie aux autorités du logement pour imposer des hausses de loyer, des conditions de travail et même des limitations de durée d'aide. En sapant l'application du droit au logement équitable, le Congrès laisserait prospérer la discrimination envers les locataires et les propriétaires. Les communautés noires, latino-américaines, autochtones et handicapées seront les plus durement touchées. Il s'agit d'une attaque directe contre les lois censées protéger contre les discriminations en matière de logement, et ce, alors même que ces mêmes communautés sont confrontées aux taux les plus élevés d'expulsion, de harcèlement et de refus d'accès au logement.
Si le Congrès adopte ce budget, la justice en matière de logement aux États-Unis fera un énorme pas en arrière. Supprimer le programme HOME étouffera l'un des seuls outils fédéraux dont disposent les collectivités pour construire et réparer des logements abordables, en particulier dans les zones où le marché privé refuse de construire. Avec une pénurie croissante de logements abordables, cette décision à elle seule signifiera que des milliers de familles seront contraintes à l’incertitude ou au sans-abrisme. La réduction des programmes de prévention des expulsions signifie que moins de personnes pourront accéder à une aide d'urgence au loyer ou à l'aide juridique en cas d'expulsion. Ces coupes budgétaires entraîneront davantage d'enfants à la perte de leur logement, davantage de personnes âgées contraintes de se réfugier dans des refuges et davantage de personnes dormant dans la rue. Pour stopper cette crise avant qu'elle ne s'aggrave, nous avons besoin d'un financement complet des bons de logement, du renouvellement des aides aux sans-abri, d'investissements conséquents dans le logement social et de solides protections pour la prévention des expulsions et les programmes de logement tribaux. Toute autre mesure constituerait une atteinte au droit des personnes à un logement sûr et stable. Ensemble, nous pouvons mettre un terme à ces coupes budgétaires cruelles et lutter pour un système de logement qui fonctionne pour tous. Caroline. Caroline Nagy (elle/elle)
|

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire