D’encre et
d’ombres furtives
Le jardin se faufile sous les feuillages fols
Tombés étincelants sous les coups de l’automne
Gémissantes et gelées sans plus de protection
Les feuilles sont perdues elles se savent mortes
Épilogue angoissé d’une vie suspendue
A dominer le sol aux pelouses tondues
A danser sous les rires et les chants d’Aquilon
A recueillir l’oiseau au plumage si doux
A adopter son nid empli des oisillons
Musiciens du printemps où il faisait si bon
Le jardin se faufile sous les feuillages fols
Tombés étincelants sous les coups de l’automne
Gémissantes et gelées sans plus de protection
Les feuilles sont perdues elles se savent mortes
Épilogue angoissé d’une vie suspendue
A dominer le sol aux pelouses tondues
A danser sous les rires et les chants d’Aquilon
A recueillir l’oiseau au plumage si doux
A adopter son nid empli des oisillons
Musiciens du printemps où il faisait si bon
Mais le ciel
vu de terre est de tout autre augure
Le feuillage dans l’arbre avait meilleure allure
Le feuillage dans l’arbre avait meilleure allure
Sylvaine DIET.
Texte : Sylvaine DIET.
Photographie : Patricia LARANCO.
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