samedi 21 mai 2016

C'était hier après-midi, à Paris, au "TERRITOIRE DU POÈME", qui recevait les poétesses Maggy DE COSTER et Catherine JARRETT.

Hier après-midi, l'association littéraire française LE TERRITOIRE DU POÈME, à présent animée par le poète Christophe BREGAINT, recevait, en l'habituel lieu de ses activités (au premier étage de la brasserie parisienne du 6eme arrondissement Le François- Coppée) deux invitées de talent, la poétesse, journaliste, traductrice et longtemps revuiste d'origine haïtienne Maggy DE COSTER et la comédienne, déclamatrice et poétesse française Catherine JARRETT, également animatrice attitrée des séances poétiques de cette association.
Maggy De Coster fut d'abord présentée par Jean-François Blavin, puis, ensuite,  vint le tour de Catherine Jarrett, présentée par l'excellent poète Guy Allix. Il fut, notamment, question de la poésie "ondulatoire" de Maggy De Coster, sorte d'écriture automatique remise à l'ordre du jour, et de ses liens, très forts, avec le monde littéraire sud-américain liés de très près à l'amour qu'elle porte à la langue de Cervantès, ainsi que du vibrant hommage à la langue française qu'a écrit Catherine Jarrett, par ailleurs particulièrement marquée par le souvenir de sa mère. Deux poétesses très différentes, tant par leur itinéraire que par leur verbe et leur univers, et une séance d'autant plus riche...

Ce rendez-vous  a attiré un public fourni; la salle était comble. Et c'était amplement mérité.




Maggy DE COSTER (à droite) se raconte et Christophe BREGAINT l'écoute attentivement.





Maggy DE COSTER







Au fond, à droite, Catherine JARRETT lit des passages du dernier recueil de Maggy DE COSTER.





De gauche à droite, Christophe BREGAINT et Maggy DE COSTER.
















LE PUBLIC


Au fond, trois spectatrices latino-américaines, admiratrices de Maggy De COSTER.






La jeune Chloé, fille de Maggy DE COSTER, photographie sa mère.




La poétesse roumaine d'expression française et traductrice Dana SHISHMANIAN.














Guy ALLIX présente la poésie de Catherine JARRETT, pour qui il avoue avoir eu un "coup de foudre" poétique autant qu'amical.






Guy ALLIX, en train de lire du Catherine Jarrett.






Catherine JARRETT, en train de déclamer ses propres œuvres.






Un panorama des participants, pendant une des dernières déclamations de Catherine, en hommage à sa mère (debout, à l'extrême droite).















































































































Textes et photographies : Patricia Laranco.

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