Il est des bois plus rassurants qu’une maison.
Ils jouent une petite musique qui invite à sourire librement.
Les corridors de leurs sentiers gardent toutes fenêtres ouvertes.
Le soleil, lampe invisible et doucement tamisée, diffuse une lumière bienfaisante.
Et le silence s’entend jusque dans les cris de quelques oiseaux dissipés.
Edith BERTHUIT.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire