Que chacun de tes pas laisse
La trace infime d'un mot écrit
Sur le sable gris de ton existence
Et qu'il éclaire de sa lumière
Si proche et si lourd qu'il pèse
Sur tes épaules comme une main de géant
Et tu refuses au soir que ta voix rauque
S'efface dans la brume du dernier soleil
François TEYSSANDIER.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire