LE POEME FAIT DEBORDER LE
REGARD DU TRISTE CHRONOS !
Le poème industrieux
détraque le temps
Et – tout en aimant le vain lieu de son tic-tac -
Des adieux calmés – son train doux ne débarque
Tant il a tramé – étreint en son milieu : l'instant
Et – tout en aimant le vain lieu de son tic-tac -
Des adieux calmés – son train doux ne débarque
Tant il a tramé – étreint en son milieu : l'instant
Mille et mille secousses le
portent : hasard
En la part : su habile où il pousse les portes
Pour l'art sans la rescousse de tous les busards
Qui perdent leur gare en la source qu'il transporte !
En la part : su habile où il pousse les portes
Pour l'art sans la rescousse de tous les busards
Qui perdent leur gare en la source qu'il transporte !
On l'aime neuf, vieux comme
un vin que l'on déguste
Il est « stuff » où le mieux sème en divers atours...
Qu'il reflue sérieux même en vain : on n'y débusque :
Aubaine si du ravin d'yeux il n'est vert Jour !
Alain MINOD.
Il est « stuff » où le mieux sème en divers atours...
Qu'il reflue sérieux même en vain : on n'y débusque :
Aubaine si du ravin d'yeux il n'est vert Jour !
Alain MINOD.
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