les nuits
se déchirent
j'ai envie
de prendre
la place du jour
pour effacer
la trace
de l'orage
qui a fondu
ton sourire
sur les rives
de mes souvenirs
se déchirent
j'ai envie
de prendre
la place du jour
pour effacer
la trace
de l'orage
qui a fondu
ton sourire
sur les rives
de mes souvenirs
tout s'était éteint
aux bras
de mes larmes
entrelacées
de tes pleurs
qui devenaient
bleus à l'aube
des saisons
que les tintamarres
venant de nos chagrins
ont bousculées
aux tréfonds
du silence
de la face
de ton ombre
sur les murs
séparant ton cœur
de ma solitude
aux bras
de mes larmes
entrelacées
de tes pleurs
qui devenaient
bleus à l'aube
des saisons
que les tintamarres
venant de nos chagrins
ont bousculées
aux tréfonds
du silence
de la face
de ton ombre
sur les murs
séparant ton cœur
de ma solitude
l'été où je noyais
mes quotidiens
dans l'Azur
de tes yeux
quand ton regard
dessinait
des arabesques
sur mon corps
ne compte plus
parmi les saisons
à force de ne plus te voir
passer sur l'écran
de mes jours
obscurcis par l'ombre
de ton dernier baiser
mes quotidiens
dans l'Azur
de tes yeux
quand ton regard
dessinait
des arabesques
sur mon corps
ne compte plus
parmi les saisons
à force de ne plus te voir
passer sur l'écran
de mes jours
obscurcis par l'ombre
de ton dernier baiser
Marc LOUVERTURE.
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