Le coquelicot tremble
Sous le vent
Et la terreur de l’abîme
Le saisit.
Le souffle de la colère
Emporte dans le sang
Les peurs
Des cris, des coups
Des blessures.
Le coquelicot s’émeut
Sous la brise câline
Il s’offre comme un rubis
Aux amoureuses alanguies.
L’amour déchaîne les passions
Cramoisis sont les corps
Griffés aux épines des roses
Cueillies à l’aube orangée.
Le coquelicot sommeille
Sous le soleil couchant,
Le ciel marbré de pourpre
Annonce la quiétude
D’une nuit sans fièvre
Rêves violacés
Emportent sur leurs ailes
Les méfaits
Des crises ensanglantées
Et le repos
Tranquille
S’étale
Comme plaines
Fleuries d’adonis
Gouttes de sang
Paisibles en fleurs réincarnées.
Et la terreur de l’abîme
Le saisit.
Le souffle de la colère
Emporte dans le sang
Les peurs
Des cris, des coups
Des blessures.
Le coquelicot s’émeut
Sous la brise câline
Il s’offre comme un rubis
Aux amoureuses alanguies.
L’amour déchaîne les passions
Cramoisis sont les corps
Griffés aux épines des roses
Cueillies à l’aube orangée.
Le coquelicot sommeille
Sous le soleil couchant,
Le ciel marbré de pourpre
Annonce la quiétude
D’une nuit sans fièvre
Rêves violacés
Emportent sur leurs ailes
Les méfaits
Des crises ensanglantées
Et le repos
Tranquille
S’étale
Comme plaines
Fleuries d’adonis
Gouttes de sang
Paisibles en fleurs réincarnées.
Martine PICHOIR
03/03/2015
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