Les mots se séparent du jour et me cherchent aux confins de
la solitude. Mais je les abandonne encore aux vents frivoles et au hasard de la
lumière, là où la terre s'achève, là où je m'arrête aux rêves tissés de la
matière du temps, là où cesse la possibilité de l'écrit, là, où dans le
lointain, entre deux rives, je dialogue en vain avec la page blanche.
Gillian GENEVIÈVE.
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