L’arbre qui
bouge et caresse le carreau clair
entretient
une ambiance de glissements d’eau.
On dirait
un ample, aquatique mouvement
dont les
longs tentacules en dansant
se
propagent…
On dirait
une sorte de respiration,
de
balancement d’air sur les feuilles tressées
qui
doucement épousent le vent, le soleil
et les
répandent au gré du pourpre va et vient,
ce fluide
bercement
qui n’est que
bienveillance.
Texte et photographie : Patricia Laranco.
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