jeudi 15 novembre 2018

Un beau poème du Belge CEEJAY, L'ESPACE DU VIDE.







Lentement le jour prend sa couleur de nuit
Mélancolique le temps s’éloigne dans des clameurs sourdes
Dans les gouffres sombres du mystère 
Chaque bruissement est habillé de vie 
Chaque reflet se joue de notre imagination
Les étoiles enflammées interrompent le silence
Dans le lointain, solitaires, les pensées fuient les ténèbres
Se laissant bercer par le charme de l'horizon sans fin 
Où se dessine l’immensité emprisonnée dans l'espace du vide








CEEJAY













©







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