jeudi 31 décembre 2020

et le dernier poème de cette drôle d'année 2020 remet plein cap sur les Îles Mascareignes créoles avec l'écriture si particulière du poète réunionnais Jean-Louis ROBERT, qui vient marronner en LIBERTANCE.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LIBERTANCE

un miroir inexpugnable subjugue

l’écho anxieux de la victoire

sur les margelles de l’abolition

les fantômes des évadés

aux lisières de l’innocence

réfractaires jaillissent

dans les noces silencieuses

de la fugace mémoire

pulvérisant d’espoir

les marrons en libertance

nous

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jean-Louis ROBERT.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

mercredi 30 décembre 2020

L'AGENCE MEDIA-PALESTINE.

 

 

 


Images invisibles? Cliquez ici...


 

Un message retentissant de Bethléem : mettre fin à l'occupation.

"Je suis né à Jaffa dans une famille musulmane et j’ai fait mes études au collège Terra Sancta, une institution chrétienne traditionnelle. Noël a fait partie de notre identité nationale palestinienne depuis des générations et de la coexistence entre des croyances différentes.

 

Alors que le gouvernement de Trump touche à sa fin, et que nous nous préparons à de nouvelles élections en Israël, mon vœu sincère pour cette nouvelle année est que le message d’amour porté par cette occasion soit réalisé. 

 

Cela ne peut commencer qu’en reconnaissant les principes fondamentaux d’égalité pour tous les citoyens, tout en mettant fin à l’occupation qui perpétue l’injustice infligée au peuple de Palestine.

 

Puissent les enfants célébrant Noël en « Terre sainte occupée »  jouir d’un avenir de paix basé sur la justice, la tolérance et le respect."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cette tribune de Sami Abu Shehadeh, représentant la liste unifiée à la Knesset, sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur le site de l'Agence :

 

Un Noël sous Covid en Palestine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Torture, traumatisme et intimidation : comment Israël traite les enfants prisonniers palestiniens.

"En d’autres mots, on n’utilise pas l’isolement cellulaire pour des enfants qui ont déjà accompli leur peine, mais plutôt avant qu’un enfant soit jugé.

 

Les conditions de l’isolement comportent « une aération insuffisante, éclairage jaune 24 H sur 24, absence de fenêtres, couchage et installations sanitaires insalubres et éléments architecturaux hostiles tels que des saillies sur les murs », d’après DCIP.

 

Tout au long de l’interrogatoire, les autorités israéliennes refusent aux enfants tout contact humain significatif avec quiconque d’autre que leurs interrogateurs et ravisseurs.

 

Les interrogateurs soumettent les enfants à toutes sortes de méthodes physiquement et émotionnellement abusives, dont des intimidations et des menaces sur les enfants, les obligeant à rester dans des positions éprouvantes.

 

Dans 100 % des cas étudiés par DCIP, aucun parent ni avocat n’était présent auprès de l’enfant pendant son interrogatoire, a découvert DCIP.

 

La grande majorité a également été exposée à des informateurs, des collaborateurs palestiniens qui essaient de sympathiser avec d’autres prisonniers pour gagner leur confiance, obtenir et enregistrer des aveux et faire leur rapport aux autorités carcérales."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article de la journaliste Tamara Nassar en date du 16 décembre dernier sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur le site de l'Agence, cette article de la journaliste Maureen Clare Murphy en date du 23 décembre dernier :

 

Le retard dans l’enquête de la CPI prive les Palestiniens de justice

 

 

 

 

 

 

Sur le site de l'Agence également, cette analyse récente de la militante anti-colonialiste israélienne Sahar Vardi :

 

Pétrole, fusils et gaz : comment l’argent des pays du Golfe alimentera l’industrie de l’armement d’Israël

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’administration Trump sévit contre un mouvement mondial de boycott d’Israël. Voici ce que vous devez savoir sur BDS.

"Le jour où le Secrétaire d’État Mike Pompeo est devenu le premier diplomate américain de haut rang à aller dans une colonie israélienne de Cisjordanie occupée, il a également doublé l’opposition de l’administration Trump à un mouvement mondial pro-palestinien de boycott d’Israël.

 

Le mouvement de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) consiste à exercer une pression politique et économique sur Israël. Son but est de pousser Israël à reconnaître les droits des citoyens palestiniens qui vivent actuellement en Israël; permettre aux réfugiés palestiniens, qui ont été poussés hors de leur pays dès 1948 lorsque Israël fut créé, à revenir chez eux; et se retirer de toute terre qu’il a saisie après la guerre arabo-israélienne de 1967, dont la Cisjordanie occupée – revendiquée par les Palestiniens."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article initialement publié le 7 décembre dernier dans le "Time", l'un des principaux magazines d'information hebdomadaires américains, sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur ce sujet, ce message d'Omar Barghouti le co-fondateur de BDS, publié sur le site de la Campagne BDS France :

 

BDS : décolonisons l’espoir !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La réalisatrice palestinienne Annemarie Jacir va adapter le roman « Les matins de Jénine » pour la télévision

"La célèbre réalisatrice Annemarie Jacir (“Wajib”) prépare une série télévisée à partir du roman à succès “Les Matins de Jénine” de l’autrice palestinienne-américaine Susan Abulhawa.

 

Le premier roman d’Abulhawa, “Jénine” est l’histoire intergénérationnelle d’une famille chassée de son village vers le camp de réfugiés de Jénine. Le roman, publié en 2010, a été traduit en 30 langues.'

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

"J'ai la nostalgie du pain de ma mère". Les mots de Mahmoud Darwich illustrent l'héritage de la diaspora palestinienne et reflètent le désir de retrouver son pays. 

 

Voir cette vidéo sous titrée en français par l'Agence Média Palestine sur sa page Facebook.

 

 

 

 

 

 

Voir également cette courte VIDEO traduite par l'Agence du chef Fadi Kattan cuisinant le mansaf, plat palestinien, pour les fêtes. Il nous parle de Noël en Palestine en situation de pandémie. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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