La lumière
du matin
A éteint toutes les lampes
De ton
souffle tu as ouvert
En grand portes et fenêtres
En grand portes et fenêtres
Pour que le
ciel s'engouffre
Dans les méandres de ta voix
Dans les méandres de ta voix
Et pour que
tes mots prononcés
A l'oreille du jour
A l'oreille du jour
Dessinent
dans l'air
D'étranges arabesques
D'étranges arabesques
D'arbres et
d'oiseaux qui s'entremêlent au vent
Et tombent en silence sur les pierres
Et tombent en silence sur les pierres
François
TEYSSANDIER.
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