Ce qu’on
veut oublier
souvent, ça
vous poursuit
comme des
fantômes qui demandent leur dû.
Combien d’âmes
en peine dénuées de noms
traînons-nous
au fond de nos âmes – à notre insu ?
« A
notre insu »…pourtant quelque chose en nous sait
en dépit du
rouleau compresseur du déni
et les
masques de peau peuvent se fissurer
heurtés de
plein fouet par un grand boomerang
quand les
chassés, les niés d’en-dedans de nous
font
grincer leur ressentiment
et leur
colère.
Texte et photographie : Patricia Laranco
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