mercredi 9 juin 2021

Dominique TEILLIER (France) salue LE DECONFINEMENT.

 

 

 

 

Quand est-ce que je cesserai de me désirer ailleurs !?

Ce titre me renvoie au long passage de l'hiver et des désirs enfouis. C'est aussi l'histoire de diverses successions matérielles et affectives. La pensée traversée de spasmes et l'âme secouée de décharges éclectiques.

Aux heures de la pandémie à la réputation pontifiante j'ai embrassé la cause après le brûlot. Comme ces jeunes filles au sourire d'enfant qui ont l'espoir de faire partager leurs chimères à leurs ami(e)s. Une ultime invitation à se laisser traverser par le rêve fugace de l'amour.

C'est avec une certaine mélancolie, l'œil bohème, sans occulter les mois de doutes que j'ai pensé à ce nouvel essor. J'ai toujours agi comme un aimant pour ne pas perdre le Nord.

Me voilà au pied du mur où tout lâche, se délitent les heures, les jours, ils convoquent au plus profond d'eux-mêmes la douceur, l'expérience, le souvenir. C'est une voix qu'il faut entendre à la première personne du singulier pour aller droit à l'essentiel et traquer la note avec le ton juste.

Vive le déconfinement !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dominique TEILLIER.

le 07/06/2021.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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