Les
forteresses de nue brusquement dressées
comme
pour nous barrer la route du ciel
en
nous opposant leurs stupas, leurs clochetons
leurs
formes aux degrés boursouflés et trapus
ne
sont en fait que des édifices changeants,
châteaux
de vents, de pluie défaits en un clin d’œil.
Hauts
et beaux mirages de crème Chantilly
que
l’on contemple quoiqu’il faille s’en défier…
mais
au fond, qui nous dit
qu’ils
ne reflètent pas
la
réelle nature de nos univers ?
Texte et photo : Patricia Laranco.
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