UN
SOIR - EN PENSANT PARIS SOUS LA PLUIE
Terre à terre vibre silence
D'équilibre où vit la ville
Dans ses atermoiements on danse
Libre – s'y ravit - non-servile
D'équilibre où vit la ville
Dans ses atermoiements on danse
Libre – s'y ravit - non-servile
Je passe alors en ce si frais chemin de pluie
Où – ici - les moindres bris d'or des feuilles tracent
Dans la nuit où ils brillent – tous ces seuils sans bruit
Jusqu'à la main d'un accueil : appui pour cent places :
Où – ici - les moindres bris d'or des feuilles tracent
Dans la nuit où ils brillent – tous ces seuils sans bruit
Jusqu'à la main d'un accueil : appui pour cent places :
Où j'écris – voix dans le corps : un doux chant
Sans prix aux décors qui renvoient à l'ombre … :
Adouber accords à boire en ce champ
En accents redoublés aux remous sombres !
Sans prix aux décors qui renvoient à l'ombre … :
Adouber accords à boire en ce champ
En accents redoublés aux remous sombres !
On y entend clapoter de Novembre : l'écho
Et – clic-clac si tendre y capote dans les cendres
Ce qui – supplique au temps – ne tendait qu'en "déco"
Musique à t'attendre – on cahotait à la prendre
Et – clic-clac si tendre y capote dans les cendres
Ce qui – supplique au temps – ne tendait qu'en "déco"
Musique à t'attendre – on cahotait à la prendre
Je reviens là où sourd la fontaine de paix …
Et lourds s'enchaînent si épais ces liens obscurs
Si – en la Seine – n'y tient son cours à happer
En ses veines où vient un amour qui est cure
Et lourds s'enchaînent si épais ces liens obscurs
Si – en la Seine – n'y tient son cours à happer
En ses veines où vient un amour qui est cure
Alain
MINOD
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