Triste et monotone la journée s'étire à petit pas
J'aurais tant aimé entendre ta voix
Seul le halètement rigoureux de la pendule
Scande méchamment le temps qui fuit
Ma vie qui fuit
Où est la joie qui nous réunissait autrefois
Chaque dimanche était une fête
Que vais-je devenir emportée par le fleuve de l'ennui
Qui me roule vers la haute mer de la Mort ?
Eliette VIALLE
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire