morose
ce carnaval des pleurs
qui, sans les couleurs vives
sans les visages gais
et la liesse effrénées des chants,
décide d'investir les rues infiniment
qui, sans les couleurs vives
sans les visages gais
et la liesse effrénées des chants,
décide d'investir les rues infiniment
Bobby PAUL
2015
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