Bonjour,
564. C’est le nombre d’exécutions extrajudiciaires que les Nations unies ont recensé entre 2015 et 2016 au Burundi. Les journalistes, les membres des partis politiques d’opposition et les dissidents politiques sont les principales cibles d’une répression menée par les forces de sécurités burundaises que le gouvernement fait mine de ne pas voir.
Malgré les nombreux appels des organisations nationales, internationales et des Nations Unies, le gouvernement burundais ne respecte pas son obligation de rendre des comptes sur les graves violations des droits humains. Bien que des rapports aient été publiés par le gouvernement, les investigations demeurent biaisées, n’aboutissent pas ou éludent les violations perpétrées. En outre, le gouvernement refuse de coopérer avec les instances internationales destinées à enquêter sur ces exactions.
L’impunité doit cesser. Agissez maintenant et demandez au président du Burundi de prendre de véritables mesures en coopération avec les instances internationales pour initier des enquêtes et traduire en justice les responsables.
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