mercredi 8 juin 2022

L'AGENCE MEDIA-PALESTINE.

 

 

 



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L’impact des frappes israéliennes à Gaza est comparable à celui d’armes chimiques, selon le rapport d’une ONG.


" Une attaque aérienne israélienne contre un entrepôt agrochimique pendant la guerre de l’année dernière à Gaza a constitué un « déploiement indirect d’armes chimiques », selon un rapport d’analyse de l’attaque et de son impact.

 

Des obus d’artillerie incendiaires tirés par les Forces de défense israéliennes (FDI) ont touché le grand entrepôt de produits pharmaceutiques et d’outils agricoles de Khudair, dans le nord de la bande de Gaza, le 15 mai 2021, mettant le feu à des centaines de tonnes de pesticides, d’engrais, de plastiques et de nylon. La frappe a créé un panache toxique, qui a englouti une zone de 5,7 km2 et entraîné des problèmes de santé chez les habitants, dont deux fausses couches, ainsi que des dommages environnementaux.

 

L’enquête approfondie, qui a nécessité l’analyse de séquences filmées par des téléphones portables, des drones et des caméras de surveillance, des dizaines d’entretiens avec des résidents et l’analyse d’experts en munitions et en dynamique des fluides, a utilisé la modélisation en 3D de l’entrepôt pour déterminer les circonstances de l’attaque. "

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article du journaliste Bethan McKernan initialement publié dans le quotidien britannique "The Guardian" sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur le site du Monde.fr, ces mots toujours juste de Rony Brauman en date du 31 mai dernier :

 

Rony Brauman : « Face à Israël, l’invasion, la dépossession, l’annexion des territoires palestiniens ne conduisent pas à des sanctions »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



« Apartheid en action » : le danger des nouvelles restrictions d’Israël pour les voyages en Cisjordanie.

" Utiliser une terminologie comme celle de « Judée et Samarie », par exemple, vise à brouiller les frontières et à traiter le territoire occupé comme une partie d’Israël. Et si Israël a toujours contrôlé les frontières entre la Cisjordanie et le monde extérieur, l’État, en mettant en œuvre ces nouvelles restrictions exhaustives, formalise ce qu’il voit comme sa souveraineté sur le territoire.

 

« Israël cherche à bureaucratiser son contrôle de facto de toute la terre palestinienne en introduisant de nouvelles procédures de collecte de renseignements qui seront utilisées pour déposséder davantage les Palestiniens, de leur terre et de leur identité » , a dit à Mondoweiss Dr. Osama Abu Irshaid, directeur exécutif de Americans for Justice in Palestine-Action (AJP Action, Américains pour la justice en Palestine-Action ). 

 

«  Les autorités israéliennes comprennent que —selon le droit international — elles n’ont pas le droit légal à la souveraineté sur le territoire palestinien occupé. Par conséquent, elles essaient de contourner cette réalité par des tactiques subversives qui traitent la terre palestinienne comme si elle était à eux. » "

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article en date du 3 juin dernier sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur le site de l'Agence, ces éléments de l' OCHA :

 

La démolition d’un immeuble à Jérusalem-Est pourrait laisser 74 Palestinien.ne.s sans domicile

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Lettre au groupe « La Femme » au programme du Barby de Tel Aviv

"Bonjour à vous, membres de La Femme

 

 

Nous venons de découvrir que votre groupe figure dans le programme du Barby de Tel Aviv du mois d’août 2022.

 

Vous, dont la carrière artistique, sans cesse en progression dans sa grande sensibilité aux influences musicales actuelles, résonne dans le message que chaque artiste porte, empreint du respect de la dignité et de la liberté de chaque être humain : vous prévoyez d’aller donner un concert dans un pays qui bafoue impunément les droits humains et le droit international depuis plus de soixante-dix ans ?"

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cette lettre ouverte de la Campagne BDS France publiée hier sur le site de la Campagne BDS France.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Envers et contre tout : survivre par la culture dans la Palestine post-Nakba.

"Comme le met en avant Edward Saïd dans La Question de la Palestine (1992), après la perte de la Palestine, elle a continué à exister comme idée, comme expérience politique et humaine, et son existence s’est appuyée sur des actes émanant d’une volonté populaire durable.

 

Par des représentations culturelles, cette volonté a été soutenue et mise en contexte et, avec elles, les Palestiniens ont transformé leurs camps de réfugiés et leur existence diasporique en une Palestine parallèle. 

 

Les objets culturels comprennent, sans se limiter à la musique et à la danse folklorique (Dabkeh), des anecdotes, de la poésie orale, de la broderie, de la cuisine et, à des étapes ultérieures, de la littérature et des arts visuels. 

 

Les Palestiniens ont même préservé leurs modes d’interaction sociale et les structures d’avant la Nakba. Les vieux stéréotypes internes au village et au clan, la concurrence, la rancune, de même que des coutumes spécifiques aux villages semblent avoir survécu à l’épreuve du temps."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article sur le site de l'Agence

 

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur le site de l'Agence cet article en date d'hier :

 

Film Lab Palestine annonce la neuvième édition du « Palestine Days International Film Festival »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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