Nul ne peut se représenter la totalité de
ce qui est.
Nul ne peut se représenter ce que recouvre la notion d'infini (à part le monde abstrait des mathématiques qui est, chez nous, du pur domaine de l'intellect).
Nul ne peut se représenter l'abîme, le plus qu'abîme de ce qui est; de ce qui n'est pas.
Nul ne peut se représenter la disparition de sa propre conscience.
Nul ne peut se représenter CE QU'EST la conscience, au demeurant.
Sans équivalent est - et demeure- le charme des insondables mystères.
Sans équivalent est - et demeure- le charme de l’insondable mystère de ce que nous avons pris l'habitude de nommer, plus ou moins, "Dieu".
Nul ne peut se représenter ce que recouvre la notion d'infini (à part le monde abstrait des mathématiques qui est, chez nous, du pur domaine de l'intellect).
Nul ne peut se représenter l'abîme, le plus qu'abîme de ce qui est; de ce qui n'est pas.
Nul ne peut se représenter la disparition de sa propre conscience.
Nul ne peut se représenter CE QU'EST la conscience, au demeurant.
Sans équivalent est - et demeure- le charme des insondables mystères.
Sans équivalent est - et demeure- le charme de l’insondable mystère de ce que nous avons pris l'habitude de nommer, plus ou moins, "Dieu".
Patricia Laranco
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