mercredi 25 juin 2025

Faisons pression sur les dirigeants pour qu'ils TAXENT le CARBURANT DES JETS PRIVES ! (EKO)

 




Les milliardaires volent sans payer de taxes pendant que la planète brûle. Mais un sommet mondial en Espagne pourrait changer cela en taxant les voyages aériens de luxe pour financer la justice climatique.

Ajoutez votre nom pour demander une taxe de solidarité climatique sur les jets privés et les vols en première classe - pour que les ultra-riches paient leur juste part.

 Signer la pétition 






Alors que beaucoup d'entre nous se soucient de notre empreinte 

carbone, les milliardaires parcourent le monde dans des jets 

privés. Et ce n'est pas tout, ils le font sans payer d'impôts : le 

carburant d'aviation n'est pas taxé comme l'essence de votre voiture. 

Ce n'est pas seulement injuste —  c'est scandaleux. 

Mais cela pourrait changer dans quelques semaines lors d'un grand 

sommet de l'ONU à Séville où les dirigeants débattront d'une 

idée simple : taxer les jets privés et les voyages aériens de luxe 

et utiliser l'argent pour financer la justice climatique et le 

développement.

Les dirigeants du Brésil, de la France, du Kenya et de la Barbade 

soutiennent déjà l'idée d'une taxe de solidarité. L'Espagne et l'UE 

demeurent indécises. Si nous sommes suffisamment nombreux à 

nous exprimer maintenant, nous pouvons les pousser à agir — 

avant le sommet de Séville.

Dites à l'Espagne, au Brésil, à la France et à l'UE de taxer le 

carburant des jets privés et les vols de luxe — et de financer 

des solutions climatiques. 

Cette levée serait simple, intelligente et équitable :

1) Mettre fin à l’exonération fiscale pour le kérosène des jets 

privés — en ce moment, les milliardaires qui volent en privé paient 

souvent zéro impôt sur leur carburant, tandis que nous petits 

conducteurs sommes taxés à chaque plein. C'est une des injustices 

climatiques les plus flagrantes — et il est temps de le changer ;

 2) Taxer les sièges de luxe à forte émission — les vols en classe 

affaires et première occupent plus d'espace, consomment plus de 

carburant, et devraient être plus lourdement taxés ;

 3) Cela aiderait à récolter plus de 100 milliards par an — sans nuire 

aux autres voyageurs ;

 4) Envoyer l’argent aux communautés vulnérables faisant face aux 

conséquences de la crise climatique.

Et ce ne serait que le début. Si les pays peuvent convenir d'avancer 

sur cette question, cela ouvrirait la voie à des engagements plus 

audacieux lors de la COP30 au Brésil — et débloquerait des 

financements substantiels pour la justice climatique. Nous ne 

voulons pas de miettes. Nous parlons de centaines de milliards 

récoltés équitablement et dépensés là où cela compte le plus.

Maintenant, vous vous demandez peut-être : est-ce que cela va 

vraiment fonctionner ?

Bonne question. Et voici une réponse honnête : seulement s'il y a 

une volonté politique. Les lobbies des combustibles fossiles et de 

l'aviation s'y opposent fermement. Mais de plus en plus de 

gouvernements disent : “STOP.” En fait, plus de 20 pays ont déjà 

mis en place des taxes sur les compagnies aériennes, y compris des 

pays comme la France et la Norvège. Il s'agit de les renforcer pour 

faire face à notre réalité : l'urgence climatique.

C'est là que vous intervenez. Les politiciens savent compter — et ils 

comptent les noms. Chaque signature vient faire monter la 

pression pour agir à Séville.

Ajoutez votre nom pour exiger des taxes climatiques sur les 

voyages aériens des ultra-riches.

Ce n'est pas juste une pétition. C'est un bout d'une vague 

grandissante. De la taxation des milliardaires et des géants des 

énergies fossiles, à la lutte contre la pollution liée aux crypto et au 

transport maritime — un mouvement mondial s'érige pour réclamer 

un financement climatique équitable et porté par les citoyens.

Nous l'avons déjà fait. Vous avez aidé à pousser des banques à 

abandonner le charbon, des entreprises de combustibles fossiles à 

faire face à des poursuites, et l'UE à renforcer ses règles 

climatiques. Maintenant, il est temps de dire : la justice 

climatique signifie taxer ceux qui en sont les plus 

responsables — et utiliser l'argent pour construire un avenir 

meilleur.

Marquons l'histoire à Séville. 

 Signer la pétition 

Merci pour tout ce que vous faites,



Nabil et toute l'équipe d'Ekō.

















Plus d'informations :





 
 

 

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