Bonjour,
Cette semaine, la communauté mondiale de l’océan s’est retrouvée à Nice pour la Conférence des Nations unies sur l’océan — grâce à votre mobilisation, et au travail d’innombrables partenaires et défenseurs de l’océan, le chalutage de fond est devenu un sujet que la France n’a pas pu ignorer. Des salles plénières aux unes de la presse, il a été au cœur des discussions tout au long de la conférence.
Et ensemble, nous avons réussi à faire bouger les lignes.
Avant la conférence, seulement 0,1 % des eaux françaises bénéficiaient d’une vraie protection. Mais cette semaine, après des mois de campagne et une forte pression citoyenne, le gouvernement s’est engagé à atteindre 4 % de « protection forte » d’ici 2026 — avec l’interdiction du chalutage de fond dans ces zones. C’est, à ce jour, le signal politique le plus clair en réponse à notre mobilisation.
Nous suivrons de près la mise en œuvre de cet engagement, notamment dans les sites Natura 2000 de l’Union européenne — des zones censées être protégées, mais où le chalutage de fond est encore trop souvent autorisé, malgré les promesses.
La mauvaise nouvelle : c’est encore loin d’être suffisant.
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