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Greedy corporate executives and their bought-and-paid-for allies in Congress and the White House are pushing a dangerous agenda to silence shareholder voices, shield CEOs from accountability, and rewrite the rules so corporate insiders can profit without oversight. If they succeed, the power to check corporate greed will vanish, and CEOs like Elon Musk will be untouchable. Just this month, Tesla unveiled a pay package proposal that could make Musk the world’s first trillionaire, while his own workers earn a fraction of that.  Natalia Renta, AFR’s associate director of corporate power and governance, put it plainly: “His own median worker is making $57,000 while he is awarded a pay package that could add up to $1 trillion by being a part-time C.E.O. It’s just very outrageous.” Now, Congress is advancing bills designed to silence shareholder voices at the very moment when they are most needed. These proposals would make it harder for workers, investors, and communities to challenge reckless corporate practices. AFR is fighting back. We have sent letters opposing these bills, joined with labor and advocacy partners representing millions of workers to call out Musk’s outrageous pay package, and elevated the issue nationally so the public understands exactly how CEOs and corporations are working to rig the rules in their favor at our expense.
If Musk’s trillion dollar pay package goes forward, it will not only make the richest man in the world into the world’s first trillionaire, but it will set a precedent that other CEOs will seize on. Other corporate boards will follow Tesla’s lead and other executives will demand the same. We cannot allow tools to stop them to be weakened. This is the tipping point for runaway corporate power and control of the economy. At the same time that Musk is continuing to push massive CEO payday boundaries, he has been igniting a race to the bottom in state corporate law. He fled Delaware after his last pay package was struck down as “unfathomable” and reincorporated Tesla in Texas, where the rules were rewritten to protect him. And Trump is urging the SEC to weaken reporting requirements, giving CEOs cover to enrich themselves in secret. That is why AFR is mobilizing. We are exposing this greed in the press, organizing with partners nationwide, and demanding action from lawmakers and regulators. And we are doing it with the strength and credibility of a coalition that has beaten Wall Street before. Let’s show CEOs that their power grab ends here. Annie. Annie Norman (she/her)
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Les dirigeants d'entreprise cupides et leurs alliés au Congrès et à la Maison-Blanche, pourtant bien servis, mettent en œuvre un programme dangereux visant à museler les actionnaires, à soustraire les PDG à toute responsabilité et à réécrire les règles afin que les initiés puissent réaliser des profits sans surveillance. S'ils y parviennent, le pouvoir de contrôler la cupidité des entreprises disparaîtra, et des PDG comme Elon Musk seront intouchables. Ce mois-ci, Tesla a dévoilé une proposition de rémunération qui pourrait faire d'Elon Musk le premier milliardaire du monde, tandis que ses propres employés gagneraient une fraction de cela. Natalia Renta, directrice adjointe du pouvoir d'entreprise et de la gouvernance d'AFR, l'a dit clairement : « Son propre travailleur médian gagne 57 000 $ alors qu'il reçoit une rémunération qui pourrait s'élever jusqu'à 1 000 milliards de dollars en étant PDG à temps partiel. C'est tout simplement scandaleux. » Aujourd'hui, le Congrès propose des projets de loi visant à réduire au silence les actionnaires au moment même où ils sont les plus nécessaires. Ces propositions rendraient plus difficile pour les travailleurs, les investisseurs et les collectivités de contester les pratiques irresponsables des entreprises. L'AFR riposte. Nous avons envoyé des lettres d'opposition à ces projets de loi, collaboré avec des partenaires syndicaux et militants représentant des millions de travailleurs pour dénoncer le plan salarial exorbitant d'Elon Musk, et porté le problème à l'échelle nationale afin que le public comprenne précisément comment les PDG et les entreprises s'efforcent de manipuler les règles à leur avantage, à nos dépens.
Si le plan de rémunération de mille milliards de dollars d'Elon Musk est mis en œuvre, il fera non seulement de l'homme le plus riche du monde le premier milliardaire mondial, mais créera également un précédent dont d'autres PDG s'inspireront. D'autres conseils d'administration suivront l'exemple de Tesla et d'autres dirigeants exigeront la même chose. Nous ne pouvons pas laisser les outils qui les en empêchent s'affaiblir. Nous sommes à un tournant décisif vers un pouvoir débridé des entreprises et un contrôle de l'économie. Alors qu'Elon Musk continue de repousser les limites des rémunérations exorbitantes des PDG, il a déclenché une course au nivellement par le bas du droit des sociétés. Il a fui le Delaware après que sa dernière rémunération a été jugée « inimaginable » et a réintégré Tesla au Texas, où les règles ont été réécrites pour le protéger. Trump exhorte la SEC à assouplir les exigences de reporting, offrant ainsi aux PDG un prétexte pour s'enrichir en secret. C'est pourquoi l'AFR se mobilise. Nous dénonçons cette cupidité dans la presse, nous nous mobilisons avec des partenaires à l'échelle nationale et exigeons des mesures de la part des législateurs et des régulateurs. Et nous le faisons avec la force et la crédibilité d'une coalition qui a déjà battu Wall Street. Montrons aux PDG que leur accaparement du pouvoir s’arrête ici. Annie. Annie Norman (elle/elle)
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