J'écris pour raconter mes déchirures en fa-sol,
Avec des poussières de phrases, assaisonnées de douleurs abandonnées sur ma langue,
Des phrases interdites aux enfants en quête de printemps, pour ne pas brûler leurs rêves dans l'œuf.
J'écris surtout pour ralentir l'envie de me jeter dans l'envers du miroir avant l'échéance, qui tourne en boucle dans ma tête.
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