Bonjour, Bonne nouvelle ! Début octobre, Foodwatch a eu gain de cause face à la Commission européenne, qui refusait de divulguer des documents qui pourraient permettre de comprendre pourquoi le Nutri-Score n’est toujours pas obligatoire en Europe. Face à ce blocage, Foodwatch a saisi en janvier la médiatrice européenne qui vient de rendre son verdict dans l’affaire des « Nutri-Score papers », se rangeant du côté de notre association. Depuis plus d’un an, Foodwatch a multiplié les demandes d’accès aux documents et aux coulisses de la Commission européenne avec un objectif clair : comprendre ce qui bloque et pourquoi le règlement européen censé rendre le Nutri-Score obligatoire n’a jamais vu le jour. Qu’est-ce qu’on nous cache ? |
| ||
Alors que le Nutri-Score stagne au niveau politique, malgré son efficacité reconnue dans la lutte contre les maladies évitables, Foodwatch maintient le cap grâce à votre soutien : défendre le logo nutritionnel jusqu’à ce qu’il devienne obligatoire dans les supermarchés européens. Dans cette bataille de longue haleine, chacun de vos dons compte ! Merci ! |
|
Et une dernière info au rayon des multinationales : après l’Envoyé spécial sur le scandale des eaux en bouteille dans lequel notre collègue Ingrid se retrouvait face à Elise Lucet (voir le replay), on vous donne rendez-vous ce soir à 22h55 sur France 2 pour un Complément d’enquête consacré à Ferrero, le groupe derrière Kinder. Découvrez dans le reportage comment nous avons débusqué les faits choquants sur Ferrero autour de l’affaire des enfants contaminés à la salmonelle. La directrice de Foodwatch, Karine, sera dans le fauteuil rouge de Virginie Vilar après l’émission, aux côtés du papa de Louna, victime que nous défendons, car dans cette affaire aussi, nous avons porté plainte. A très bientôt ! |
Audrey Morice, chargée de campagne foodwatch France. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire