J’écris chaque jour mes blessures
avec des mots prémonitoires ;
chaque poème est un pas vers la mort,
la mort qui m’ouvre grand ses bras.
J’écris chaque jour mes blessures
avec des mots ternes et exsangues ;
mon encre ne tatoue pas le temps,
elle pleure… elle pleure ma vie !
Elbeau
CARLYNX
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire