vendredi 22 janvier 2016

Un poème angoissé de Bobby PAUL (Haïti).

la nuit tatoue l'angoisse des heures 
me saluent tes doigts insomniaques 
je crache mon ombre tremblotante 
clouée au mur se remue la lumière 
et tes yeux m'épargnent la voie fatale 







Bobby PAUL

2016

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