vendredi 8 janvier 2016

Un texte de Gillian GENEVIÈVE (Île Maurice).

Les mots se séparent du jour et me cherchent aux confins de la solitude. Mais je les abandonne encore aux vents frivoles et au hasard de la lumière, là où la terre s'achève, là où je m'arrête aux rêves tissés de la matière du temps, là où cesse la possibilité de l'écrit, là, où dans le lointain, entre deux rives, je dialogue en vain avec la page blanche.



Gillian GENEVIÈVE.

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