Et le vent ne parle que du vent
La solitude est le pays des ombres. Tous ces chemins laissés derrière toi et d’où personne ne vient.
Un portail entrouvert, un homme qui va.
Les jeunes filles effarouchées, leurs grands yeux de Chimène, épanouies à la fraîcheur des parasols multicolores.
Peu à peu, s’accélère l’escargot, le temps passe lentement.
Devant l’infini du ciel, allongé dans les hautes herbes, j’ai vu des étoiles de lucioles voler.
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