vendredi 11 avril 2025

Zohra MRIMI (Algérie/France).

 




Un an passé comme une horloge figée
C’est beaucoup de printemps.
L’hiver, ce vieux gars, a la peau d'un loup blanc,
Des heures de travail, je veux que rien ne s’achève !
J’ai vu maintes fois votre visage, vous inventez l’amour sur l’écorce d’un arbre, sur les reins d’une femme,
Je la trouve laide car tout ce que vous toucherez ressemblera à une mémoire oubliée.













Zohra MRIMI.




















Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire