Comment les coupes budgétaires impactent-elles les femmes victimes de violences et leurs enfants ?
Des permanences fermées : ce sont des lieux d’écoute, d’accueil physique et d’orientation des victimes de violences. Grâce à elles, c’est une porte de sortie qui s’ouvrait pour sortir des violences, aujourd’hui cette porte se referme laissant les victimes seules.
Des travailleur·euse·s licencié·e·s : moins de juristes, de psychologues, de médecins, de travailleurs sociaux pour soutenir et accompagner les femmes victimes de violences et leurs enfants lors de signalements de violences, au moment du départ du domicile, ou encore lors des procédures judiciaires.
Des fermetures d’hébergements d’urgence : des femmes victimes de violences conjugales dans l'incapacité de se mettre en sécurité, alors même que le risque de féminicide est à son paroxysme.
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