jeudi 21 août 2025

France (FOODWATCH FRANCE) : 🍕 ALIMENTATION ULTRA-TRANSFORMEE : quel est le PROBLEME ?

 






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Bonjour,



Le saviez-vous ? 8 produits sur 10 dans les rayons alimentaires sont ultra-transformés. Symptomatiques d’une alimentation industrialisée, ultra-appétissants, souvent moins chers, ces produits posent des risques pour notre santé. Alors, que sont-ils exactement et pourquoi sont-ils problématiques ?  

En l’absence de définition scientifique officielle, on considère qu’un aliment est ultra-transformé lorsqu’il a subi des processus de transformation industrielle (fractionnement des aliments, cuisson-extrusion, soufflage, fritures industrielles, etc.) pour sa fabrication. Bien souvent, les produits ultra-transformés contiennent des ingrédients qu’on ne trouve pas dans notre cuisine : émulsifiants, maltodextrine, amidons modifiés, arômes artificiels, qui recréent artificiellement du goût, de la texture ou une apparence aux aliments que nous consommons.  

Classification NOVA








🛒 La classification NOVA, un outil recommandé par l’OMS pour guider les politiques publiques

Pour y voir plus clair, des chercheuses et chercheurs ont créé la classification NOVA qui donne une note de 1 à 4 aux aliments, selon leur niveau de transformation, plutôt que selon leurs seules caractéristiques nutritionnelles. Le groupe 1 regroupe les aliments bruts – comme les fruits, les légumes, le poisson ou le lait. Le groupe 4, lui, rassemble les produits ultra-transformés : céréales sucrées, plats préparés, sodas ou biscuits industriels.   





🩺 Alimentation ultra-transformée et risques pour la santé

Malgré l’absence de définition officielle, limiter les aliments ultra-transformés serait bénéfique pour la santé. Les résultats des nombreuses études scientifiques déjà menées sont clairs : les aliments NOVA 4 sont liés à un risque accru de maladies chroniques. On parle de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2, d’obésité, de cancers, de troubles digestifs… et même de symptômes dépressifs.  

Si comment et pourquoi ces aliments posent des problèmes n’est pas clairement identifié, leur lien avec l’augmentation des risques sur notre santé l’est. Ce manque de certitudes ne peut pas justifier l’inaction. Plusieurs autorités sanitaires recommandent déjà de réduire les aliments ultra-transformés. Et les arguments pour taxer les produits trop sucrés, encadrer le marketing ciblant les enfants ou limiter certains additifs sont connus depuis longtemps.






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On se retrouve en grande forme à la rentrée pour de nouvelles actions en faveur de notre santé et d’une alimentation saine, durable et choisie pour toutes et tous ! ✊ 











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Audrey Moricechargée de campagnes Foodwatch France.




































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