A chaque matin
une nouvelle innocence ;
un nouvel émerveillement
comme un poignard
planté net en plein centre de la
chair du jour
mais qui peut poignarder le
déchiquètement,
le grand bond de côté mobile et
maraudeur ;
qui jamais sédentarisera
la lumière ?
Texte et photographie : Patricia Laranco
(Tous droits réservés)
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