CARREFOUR.
Dans tes bras accueillants,
Douce ville artistique,
J'ai connu mille et un printemps
Ô toi, ville aux treize tentacules
À travers tes tubercules,
J'ai goûté au savoir aimer,
Savoir être, savoir profiter
De la tendresse d'une ville
Historique et indélébile.
En moi, tu demeureras,
Autant de fois que tu voudras...
Carrefour, je te dois ma vie entière,
Puisque tu es pour moi une bonne mère.
Tu as su me bercer nuit et jour,
M'éduquer et me combler d'amour,
Sans rien m'exiger en retour...
Je n'oublierai jamais, en effet,
Ces personnes extraordinaires,
Des amies-sœurs, des amis-frères,
Qui m'ont soutenu avec respect.
En guise d'hommage, reçois ce poème,
Fruit de mes tripes, de ma peau-aime,
Qui t'exalte, ô fleur que mes pots aiment...
GREGPHILE.
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