URGENT : Israël a bombardé un autre hôpital à Gaza, incinérant des personnes encore sous perfusion.
Les banques financent la machine de guerre israélienne en injectant des milliards dans l'industrie de l'armement.
Dites aux banques d'arrêter - ajoutez votre nom :
Israël a bombardé un autre hôpital à Gaza.
Ne vous méprenez pas, il ne s'agit pas d'un accident tragique, mais d'un génocide.
Netanyahou affirme qu'il « se battrait avec les ongles », mais sa machine de guerre est alimentée par des armes financées par nos banques. Ces banques alimentent les carnages.
Exigez qu'elles cessent - chaque signature compte, cher.e ami.e. Signez la pétition afin de bloquer l'approvisionnement en armes d'Israël et de mettre fin au génocide dès maintenant.
Rien qu'en Europe, 20 banques ont injecté pas moins de 36,1 milliards d'euros sous forme de prêts et de garanties aux principaux fournisseurs d'armes à Israël sur la période 2019-2023. Une étude publiée en juin pointe du doigt plusieurs géants bancaires : en tête, la française BNP Paribas avec 4,7 milliards d'euros, suivie du Crédit Agricole, de la Deutsche Bank et de Barclays.
Les fonds de pension et les assureurs sont également cités dans le rapport de l'ONG, ainsi que par les experts des Nations Unies. Si ces institutions continuent de financer les fournisseurs d'armes d'Israël, ils risquent d'être accusés de complicité dans d'éventuels crimes de guerre.
Les grandes banques américaines et canadiennes ne sont pas en reste. La banque new-yorkaise Citigroup s'est illustrée en dirigeant un consortium visant à financer l'achat par Israël d'avions chasseurs F35. La banque a également investi des milliards de dollars supplémentaires auprès des fournisseurs d'armes à Israël. Pourtant, ces institutions ont le pouvoir de se désengager et, ainsi, de contribuer à mettre un terme à cette tragédie.
Certains diront que ces décisions relèvent du gouvernement, et que le rôle des banquiers devrait se limiter à générer des profits. Il est vrai que nos dirigeants politiques portent une lourde responsabilité et pourraient un jour avoir à répondre de leurs actes devant la justice. Néanmoins, les banquiers sont aussi des êtres humains. Sous la pression de l'opinion publique, ils peuvent être amenés à utiliser leur pouvoir pour œuvrer dans le sens du bien commun.
Dites aux banquiers : coupez les ponts avec les fournisseurs d'armes à Israël.
Selon l'UNICEF, plus de 1 000 enfants palestiniens ont été amputés d'une jambe rien qu'entre octobre et novembre 2023. Aujourd'hui, les chiffres seraient plus élevés encore, les bombes israéliennes ayant décimé ce qu'il reste des hôpitaux et des routes de Gaza.
Cette tragédie semble sans fin, et la perspective de réduire l'afflux d'armes vers Israël paraît lointaine. Mais comme l'a dit Nelson Mandela : cela semble toujours impossible jusqu'à ce que ce soit fait.
Dès aujourd'hui, contribuons à mettre la pression sur les banques, les assureurs et les fonds de pension – et à faire taire les armes par tous les moyens nécessaires.
Merci pour tout ce que vous faites,
Eoin et l'équipe d'Ekō.
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