Je voudrais m'empresser par les temps qui chevauchent les nuages de cette fulgurante allure d'empressement
de dire d'un faux silence comme si tout allait s'écrouler au dernier virage périlleux d'un clin d'œil de l’oiselet hybride emporté par le courant de la dernière heure du dernier automne
ce poème séché
écrit à l'encre jaune
sur du papier mâché
telle une feuille détachée d'une branche mourante de la littérature élitiste
tohu bohu de mots ivres, peu vifs et avides, tirés au hasard de l’intérieur de la boîte à "m'en foutre pas mal" du qu'en dira-t-on ?
Traduire le langage des vagues de la mer
les particules de la brume
et aussi celles des rayons lumineux du jour...
GREGPHILE
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