"Pendant près de deux ans, semaine après semaine, l’armée a envoyé des tireurs d’élite entraînés, avec un équipement de protection complet, pour affronter les résidents de la bande de Gaza assiégée et sinistrée qui allaient manifester près de la barrière. À en juger par l’expérience cumulée de plus de 50 ans d’occupation, chacun de ces soldats avait toutes les raisons de croire que, quoi qu’il arrive lorsqu’ils pressaient la détente, le système les protégerait et couvrirait leurs crimes. Les 234 morts, les 17 enquêtes et l’acte d’accusation solitaire – pour le meurtre d’un garçon de 14 ans – qui s’est soldée par 30 jours de travaux d’intérêt général, une condamnation avec sursis et une rétrogradation au rang de simple soldat, prouvent qu’ils avaient raison." Lire la suite de cet article de la traductrice et militante anti-colonialiste israélienne Orly Noy en date du 25 novembre dernier sur le site de l'Agence. A lire aussi sur le site de l'Agence, cet article de la journaliste Maureen Clare Murphy en date du 26 novembre dernier : L’auto-enquête d’Israël protège ses soldats A Gaza, la situation va en se dégradant, comme le rapporte cette même journaliste dans cet article du 25 novembre dernier : La catastrophe du coronavirus se profile à Gaza |
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