mercredi 17 mai 2017

Un autre poème du Mauricien Umar TIMOL.



parfois vous croyez revêtir votre corps
de la matière de la pierre, alors rien,
ni personne ne peut vous blesser mais
vous n’êtes au fait pas pierre mais ce miroir,
dont la seule blessure est Sa beauté,
qui n’a cessé de vous saccager en un
nombre infini de fragments,
ce qui ne vous empêchera
pas de revêtir encore votre
corps de la matière de vos illusions



















Umar TIMOL.























Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire