Qu’une voie lactée m’ouvre le chemin. Ce rêve de la nuit où brille une petite lumière. Vastes champs de solitude au carrefour de mes pages. Je cherche l’essentiel, peu importe le mystère. L’ombre d’un poème universel oublié entre les maux. Immenses trous noirs qui m’absorbent dans un dernier murmure avant l’obscurité.
Dans l’embrasure de la poutre centenaire
Une toile d’araignée en plein soleil.
Tes pas oscillent
Entre vie et trépas
Mais tu as encore tant d’espérance en toi.
Richard TAILLEFER.
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