Femme soleil et de
printemps comme fleur d'hibiscus flamme dans la pénombre, tu peuples, un à un,
chacun de mes jours. Tu aimes les gestes du petit matin, si pleinement oh
tellement veloutée charnelle ! Tes mains rythmant de troublantes douceurs
déracinent toute vergogne, libèrent tant de verbe sous séquestre ! Avec toi nue
surgit la joie.
Transfuseuse d'énergie, sang et sucs, tu es la vivante insoumise, l'effervescence des éclairs incendiant les butins des pilleurs le pathos mandaté des hâbleurs des oui-oui des vendus des obséquieux. Et tu tentes, par désir d'exister rigoureuse, de propager ta gésine de sédition. Loin de tout désespoir, tu dis, prenant l'“up to date” à rebrousse-poil dans une langue qui résiste : « Peu suffit pour une vie heureuse ».
Tes mots chamboulent à humer parfum de fenouil qui sustente et d'églantine qui délie.
Transfuseuse d'énergie, sang et sucs, tu es la vivante insoumise, l'effervescence des éclairs incendiant les butins des pilleurs le pathos mandaté des hâbleurs des oui-oui des vendus des obséquieux. Et tu tentes, par désir d'exister rigoureuse, de propager ta gésine de sédition. Loin de tout désespoir, tu dis, prenant l'“up to date” à rebrousse-poil dans une langue qui résiste : « Peu suffit pour une vie heureuse ».
Tes mots chamboulent à humer parfum de fenouil qui sustente et d'églantine qui délie.
François LAUR.
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