la cascade de tes visages
sur le corps de mes amours
que saisir de leur fuite lente
sur le corps de mes amours
que saisir de leur fuite lente
je t'ai bu dans tous les puits
embrassé dans toutes les rivières
où nos reflets enlaçaient l'onde
de tes mains déployées sur moi
embrassé dans toutes les rivières
où nos reflets enlaçaient l'onde
de tes mains déployées sur moi
je n'ai saisi que l'ombre blanche
que dire de leur langage fauve
que nommer qui de toi s'échappe
sans jamais assouvir ma soif
que dire de leur langage fauve
que nommer qui de toi s'échappe
sans jamais assouvir ma soif
les yeux fermés je te libère
nous sommes dans tous les rires
dans le pleur de chaque enfant
épousés dans le vent qui chante
vivants complets intemporels
amour...
nous sommes dans tous les rires
dans le pleur de chaque enfant
épousés dans le vent qui chante
vivants complets intemporels
amour...
Élodia TURKI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire