Le poème naît du
silence, s'entrelace aux arbres, valse avec les feuilles mortes, caresse la
terre humide et, de vers en strophe, purge le temps d'encre et de venin pour
médire la mort et éreinter le sens du tragique et du beau en absence de la
virgule et du point, libre du tout et du rien.
Gillian Geneviève.
Encore une perle détachée du collier si dense et si "précieux" collier de poésie que tu nous proposes .
RépondreSupprimer