"Cette élection ne s’est pas fait remarquer par un choix déterminé entre les candidats – entre, par exemple, un homme idéologiquement opposé à la liberté des Palestiniens et un autre qui veut mettre fin aux 52 ans maintenant de régime militaire israélien.
La campagne s’est plutôt illustrée par une compétition entre qui traitera le plus rudement les Palestiniens, où un candidat après l’autre fait jouer ses muscles pour montrer combien il est fort. Même le très loué Benny Gantz a lancé sa campagne en janvier en se vantant qu'en tant que chef militaire d’Israël, il avait fait retourner « certaines parties de Gaza à l’âge de pierre » en les bombardant, faisant référence à l’agression militaire israélienne dévastatrice de 2014 qui a décimé la Bande de Gaza assiégée.
Netanyahu, bien sûr, a fait du Netanyahu, déclarant la semaine dernière sur Facebook que « les Arabes essaient de nous anéantir » et avertissant que si « la gauche » gagnait, le seul moyen qu’elle aurait pour former un gouvernement serait de forger une coalition avec « les Arabes »."
Lire la suite de cet article de l'avocate canado- palestinienne Diana Buttu en date du 16 septembre dernier sur le site de l'Agence.
Comme le confirme cet article de France 24 en date de ce jour, aucun des deux partis arrivés en tête ne peut former une coalition.
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