Et mon
cœur orphelin traine dans la marée
Je flaire le déclin des effluves d’été
Des astres sibyllins aux portiques dorés
Est-ce ainsi que le destin couronne les années
Je flaire le déclin des effluves d’été
Des astres sibyllins aux portiques dorés
Est-ce ainsi que le destin couronne les années
Je veux
de ce bon vin que boivent les athées
M’alanguir de tes reins ô vierge de beauté
Que je sois un divin esclave révolté
Le dernier assassin des étoffes zélées
M’alanguir de tes reins ô vierge de beauté
Que je sois un divin esclave révolté
Le dernier assassin des étoffes zélées
À
l’usure mes mains ne sont point bouclier
Mes yeux à vif écrins sont déjà dilatés
Voyez ce fond marin non encore ébruité
Que revienne l’ancien
M’engloutir en entier
Mes yeux à vif écrins sont déjà dilatés
Voyez ce fond marin non encore ébruité
Que revienne l’ancien
M’engloutir en entier
Jean-Yves
METELLUS.
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