Ô cette insoutenable perfidie du Paradis,
Île en quête d’expiation, parure en hystérésis.
Île en quête d’expiation, parure en hystérésis.
Mantelet d’une
vibrante conscience et chevelure vertueuse éphémère,
Tels des vagues éclaboussées,
élucubres d’un instant d’éclat au soleil.
Jadis un havre
d’amour, vierges de Bernardin de St Pierre,
Genèse volcanique à
péripéties peinturlurées.
Panachage de pirates,
noblesse errante, transitaires d’esclaves, anthropophages dans l’âme.
Prélats, sains de
consciences, moralistes, opportunistes de tragédies.
Fouets apathiques,
excavent cette chair en sueur, olfaction de désolations fusionnent avec la
rosée torride.
Myriades d’horizons
d’existences antérieures, entreposées entre des pinacles de laves,
Alcôve du Dodo et
estampille de l’enclumeau qui forge ces destinées.
Mosaïque d’un
panachage de déités creux sur l’autel de la démesure,
Méchanceté humaine
dissimulée en prétentions vides.
Ces étincelles
volcaniques accouchent des êtres imbus du refus d’être ensevelis sous ces laves
de médiocrités.
Où malédictions figées
se confondent aux parfums de l’indignation,
Valeurs inversées,
essors malséantes, des traversées dans l’absurde, intransigeance
aliénée…contraintes incultes.
Élan inspiré, bercé de
rêves infantiles,
Où démons aux allures
célestes s’aventurent à façonner les aspirations des Maîtres de L’Absolu.
L’essentiel n’est point imperceptible.
Pulsations cadencées
de lâcheté, figées dans l’étreinte de vulnérabilité.
Incarner le rythme du
superflu, posture de la raison d’être d’autrui.
Mirage travesti en
miracle éblouissant aux larmes sur nos lèvres ornées d’un silence tourmenté.
Maurice Île Durable,
Mon Amour de Troubadour !
Sadek
RUHMALY.
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