De la mer ma chair a le goût du sel
de l’ombre des arbres mon corps a le repos.
J’appartiens aux immensités ancestrales
mon orientation est celle des oiseaux
il ne m’étonne de voler en mes songes
car en esprit je visualise mes tribulation vues d’en haut.
Je vogue la poitrine écrasée sous les coups de beauté
de la lune née de l’obscurité d’un soleil timide
qui lentement s’immerge dans l’eau sombre des lacs.
Je suis la main forte du nouveau né
qui emprisonne le doigt comme le trapéziste la barre
lancé depuis le fond du chapiteau de la canopée.
Du ciel mon cœur a la couleur.
De la vie ma vie a l’ampleur.
de l’ombre des arbres mon corps a le repos.
J’appartiens aux immensités ancestrales
mon orientation est celle des oiseaux
il ne m’étonne de voler en mes songes
car en esprit je visualise mes tribulation vues d’en haut.
Je vogue la poitrine écrasée sous les coups de beauté
de la lune née de l’obscurité d’un soleil timide
qui lentement s’immerge dans l’eau sombre des lacs.
Je suis la main forte du nouveau né
qui emprisonne le doigt comme le trapéziste la barre
lancé depuis le fond du chapiteau de la canopée.
Du ciel mon cœur a la couleur.
De la vie ma vie a l’ampleur.
CEEJAY.
©
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