"Comme partout ailleurs, 2020 a été difficile à Gaza. Mais dans cette bande de terre côtière surpeuplée, assiégée et appauvrie, les confinements et les difficultés économiques et humanitaires résultant de la pandémie mondiale de la COVID-19 n’ont fait qu’aggraver une situation déjà désespérée. Plus de la moitié de la population vivait déjà sous le seuil de pauvreté. Et l’économie a souffert de façon radicale à cause du blocus israélo-égyptien sur Gaza et des opérations militaires réitérées d’Israël qui, selon les Nations Unies, ont coûté au territoire près de 17 milliards de dollars dans la décennie 2007-2017. Les Nations Unies affirment que sans le blocus et sans les opérations militaires israéliennes, la pauvreté à Gaza aurait pu tomber aussi bas que 15 % en 2017." Lire la suite de cet article du journaliste Ola Mousa en date du 26 janvier 2021 sur le site de l'Agence. A lire aussi sur le site de Politis.fr, cet édito du journaliste Denis Sieffert en date d'hier : Apartheid vaccinal Et ce nouvel article de Yaël Stein, directrice de la recherche à B’Tselem en date du 2 février dernier : Pourquoi les tortionnaires du Shin Bet n’ont pas à craindre d’être punis |
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